Présentation ...

Bien que maintenant connu d'une partie d'entre vous, j'ai envie de me prêter au jeu de la présentation.

J'ai eu un appareil dans les mains au début des années 70 (non, ne cherchez pas à compter). Comme beaucoup, j'ai fait DES photos. C'était déjà un reflex (Ricoh).
J'ai beaucoup lu, appris et aussi pratiqué, en prise de vue et en labo, y compris une petite excursion par le développement couleur vers 1980 !
J'ai aussi commencé le studio à cette époque. Presque par hasard, d'abord.
La première fois, ce fut lors d'un atelier animé par Laurent Biancani, lors d'une Foire à la Photo, à Chelles (77). J'ai récidivé par la suite avec plusieurs séances dans un studio parisien, puis les aléas de la vie m'ont fait mettre cette activité entre parenthèses. J'ai continué à faire de la photo, avec une prédilection pour les portraits vivants.
Un Fujica AX5 m'a accompagné pendant de très longues années (presque 20 !).
Au détour d'un voyage au Japon, c'était au millénaire dernier, j'ai ramené un bridge numérique dans mes bagages. Depuis, je suis retourné au réflex, numérique s'entend.
En 2006, j'ai trouvé que mon boulot prenait vraiment beaucoup de place et surtout, ne m'apportait plus autant d'émotions qu'avant ; la photo s'est à nouveau imposée.
C'est vers le studio que je me suis retourné, et j'ai repris là où je m'étais arrêté, au début de la progression.
Une photo est une bonne photo, pour moi, si j'y trouve une émotion. A cause de cela, le fait qu'une photo soit bonne ou mauvaise ne peut pas être une définition absolue, mais au contraire une définition personnelle.
Le studio présente des exigences qui lui sont propres : on est en relation avec d'autres personnes, modèles, maquilleuses, qui ont aussi leurs attentes vis-à-vis de la séance.
On a envie de satisfaire ces attentes, et la pression est importante, ou alors c'est qu'on s'en fiche.
Mon pseudo (Paxel) a plusieurs sens. L'un d'entre eux est tout simplement né du croisement de Pixel et de Patrick ... mais il y en a d'autres.
Je suis venu au club, comme beaucoup, d'abord pour profiter des installations. Ce dont je ne me prive pas, d'ailleurs.
Mais j'y ai rencontré des passionnés qui m'apportent beaucoup de choses que je n'avais pas prévues, et qui m'ont donné envie de partager. Merci à eux.
Parfois, je me dis que le plaisir de partager est si intense et si personnel que ça frise presque l'égoïsme !

Bonjour chez vous ! (et ne cherchez pas de message subliminal dans cette référence, je n'ai pas encore rencontré les bulles !)